“Témoin, veuillez décliner votre identité.”

“The testimony begins.”

Nom: Casey
Prénom: Plude
Sexe: Féminin
Date de Naissance: 27 Septembre
Nationalité: Américaine
Activité: Détective fouteuse de merde

“Connaître les autres, c'est sagesse. Se connaître soi-même, c'est sagesse supérieure.”

Le personnage que nous avons choisi est de nature complexe et aussi dépressive. On peut même dire qu'il y a deux ou plusieurs Plude dans un seul corps. Schizophrène ? Non, pas autant que cela. Elle peut tout simplement changer de comportement à tout moment, c'est pour cela qu'elle est très imprévisible pour ceux qui ne la connaissent pas. Sinon, pour ceux qui sont habitués à ses sauts d'humeur, elle reste quelqu'un d'attachant.

Peut-être qu'en la voyant, vous vous imaginez une séductrice née. Vous avez choisi le mouvais chemin. Elle est peut-être manipulatrice à ses heures perdues, mais d'une timidité rare. Oh oui, je ne vous mens pas. Verseau de naissance, elle a du mal à parler aux autres, elle tremble et devient toute rouge. Lors de ces moments de timidité, elle a la manie de jouer nerveusement avec une mèche de ses cheveux : la tortillant dans tous les sens, elle l'enroule sur son doigt, la mord même. Elle n'arrive pas à prononcer correctement les mots et parle trop vite. C'est à ces moments-là qu'on distingue parfaitement son accent américain et toute trace doute sur ses origines disparaît . Plude voit sa timidité comme un défaut qui la poursuit depuis toujours, elle aimerait bien s'en débarrasser, parler normalement avec les hommes qui lui plaisent sans devenir une tomate ambulante. Mais certains gens insistent sur le fait qu'elle est toute mignonne lorsqu'elle rougit et que si on lui enlève sa timidité il reste rien. Un autre aspect de son caractère qu'elle aimerait bien abandonner dans un coin de sa chambre est sa gentillesse. Plude est aussi gentille que timide, mais elle voudrait être plus méchante avec les gens. Elle n'arrive pas à dire non pour certaines choses. Chose qui contraste avec son agressivité naturelle lorsqu'on la gêne. On continue la liste des défauts qualités qu'elle voudrait laisser ? Elle se trouve idiote voire bête. On lui a souvent répété qu'elle ne sert à rien et elle le croit fortement.

Sans se rendre compte et à cause des avis des autres, elle a développé un complexe Peter Pan. En effet, elle est gamine et le dit elle-même : « je n'ai jamais demandé de grandir ». Mais elle ne peut pas faire marche en arrière et retourner à ses dix ans. Pas qu'elle aurait apprécié rester toute sa vie dans le corps d'une fillette, mais le fait qu'elle ne veuille pas grandir et qu'elle soit aussi gamine est lié à son passé. Quand on vous force à sortir de votre petite bulle et que vous n'avez à peine que neuf ans, le monde vous semble terrifiant. Ou peut-être qu'elle aime trop les jeux et l'innocence de cette période utopique. Quand on est petit, on n'a pas de problèmes, tout est si facile comme lever la main pour prendre un biscuit et lorsqu'on grandit les problèmes grandissent avec toi. Et vu qu'elle est assez grande, elle a pas mal de problèmes à régler toutes les minutes, surtout qu'elle a la très mauvaise manie de laisser les choses pour le lendemain...

Avec le temps, elle a développé une certaine folie, ou pourrait très bien l'envoyer à l'asile si elle n'avait pas tant de lucidité. Ce n'est pas une folie comme on se la représente de nos jours, mais disons que les expériences qu'elle a pu connaître et les gens qu'elle fréquente sont tout sauf stables psychologiquement. C'est un peu raté, vous savez : comment une folle peut devenir détective un jour ? Tout simplement, Plude sait écouter les gens, leur donner des conseils et c'est un fait que les personnes se sentent bien en sa compagnie, raconter sa vie et ses problèmes à cette jeune femme est quelque chose de simple. De plus, elle ne juge pas, elle laisse de côté ses conneries et devient subitement sérieuse. Ce changement surprend puisqu'on la voit la première fois on se dit que cette fille est incapable de regarder les choses sans rire ou faire une remarque absurde. Mais Casey a aussi son côté sérieux, froid. Rare sont les personnes qui l'ont remarqué, ce n'est pas devant tout le monde qu'elle reprend ses esprits. En effet, lorsqu'elle est en groupe, mais surtout avec des gens qu'elle ne connaît pas très bien, sa timidité lui joue de tours créant ainsi sa folie. Ou elle s'efface complètement. Elle fuit le contact des autres par moments, ce que la pousse à inventer des mensonges pour ne pas sortir de son antre.

Mais parlons de l'autre côté de cette américaine bien curieuse, dans tous les sens du terme. Elle peut se révéler être dotée d'une indifférence qui s'est accroit avec le temps. Ayant marre d'être la risée de ses camarades lorsqu'elle était plus petite, elle a compris que si elle ne prêtait aucune attention elle pouvait avoir la paix. Peu à peu, son indifférence à évoluer au « m'en foutisme ». A croire qu'elle n'a rien à faire du monde qui l'entoure. Et c'est vrai. C'est un mur de glace quand elle le veut, une vierge de fer, presque autiste. Elle a forgé un monde à elle où c'est difficile de rentrer sans être invité.

Que puis-je dire de plus sur elle ? Beaucoup de choses encore, ses goûts musicaux, ses plats préférés, le livre que l'accompagne partout, ses couleurs favoris, son genre de mec, ses notes. Il y a toute une liste, mais je crois que j'ai déjà dit assez sur elle et de toutes manières approfondir le caractère de ce spécimen prendrait trop de temps et d'espace et nous ne sommes pas là pour ennuyer le public. Sachez tout de moins une chose, Plude est spécial, elle est elle même. Unique, simple, originale et surtout naturelle.

Plus de détails !
Un secret: C'est idiot et très ordinaire...elle fait la collection des répliques d'avocats et procureurs célèbres.
Un rêve: Coffrer Miles Edgeworth Continuer à vivre paisiblement...
Relations: Citez ici ses principales relations: amis, ennemis, amours...
Autres: Un objet qu'elle ne devrait absolument pas avoir sur elle: son petit poignard. En général, Plude a le culot de dire que c'est un couteau à fruit...

“Laissons le passé être le passé.”

Au sein d'un batiment qu’elle avait intégrée il y a un an, dans cette pièce où elle passait son temps à lire d’innombrables feuilles qu’elle inspectait, Plude pouvait se remémorer son existence. Elle l’avait modelée précautionneusement, la finalisant grâce à cette victoire qu’elle avait acquise sur elle-même, et qu’elle n’arrêterait pas de ressasser inlassablement. On lui avait toujours reproché de ne pas être suffisamment focalisée sur le présent, mais comment l’apprécier si on ne se délectait pas du passé d’où il émergeait ? Plude aimait se faire du mal en pensant à tout ce qui avait pu la blesser auparavant. Ainsi, lorsque les plaies d’antan tendaient à saigner nouvellement, elle pouvait en savourer la cicatrisation qu’elle suivait aveuglément, dans l’espoir qu’elle puisse oublier un jour ce démon qui l’avait tant influencée. Sans elle, la demoiselle passionnée de justice ne serait jamais devenue ce qu’elle était actuellement, et loin de cracher sur la soupe, avouant qu’elle lui avait apporté des choses positives dans son environnement, elle la considérait comme une péripétie décisive de son vécu, qu’elle avait su surmonter.
Mais avant de se remémorer cette personne qui avait eu tant d’emprise sur elle, commençons par présenter son cadre familial. Le père de Plude, prénommé Jack, était un bon vivant qui aimait sa fille et la couvrait de cadeaux selon son bon vouloir. Le genre trop bon trop con si vous voyez ce que je veux dire, mais il avait toujours su répondre présent quand elle avait besoin de lui, à l’inverse de sa mère qui avait la fâcheuse manie d’être distraite. Cette dernière, qui répondait au prénom de April, avait octroyé la fin de son appellation à l’identité de sa fille que nous connaissons sous un patronyme proche d’un prénom anglais, mais qui avait quelque peu été remixé en japonais. Pas peu fière d’avoir permis à sa fille d’acquérir une certaine originalité jusque dans sa façon d’être interpellée, elle la qualifiait de suffisamment débrouillarde pour déployer tous les moyens nécessaires pour arriver à ses fins. Elle pensait que Jack en faisait trop, qu’il la gâtait excessivement et lui donnait une bonne occasion de brûler les étapes décisives pour accomplir son destin. Elle craignait que son enfant ne devienne trop impotente, et se trouve inapte à débusquer des solutions à ses propres problèmes. Quoiqu’il en soit, les origines de cette petite famille étaient assez complexes. Madame Casey, autrefois mademoiselle Stern, était une américaine pure qui naquit à New-York,comme son mari.
On ne peut pas dire que l’enfance de Plude fut chaotique. Bien au contraire. Sa famille avait toujours été aisée, et la profession de son père lui permit de se ranger parmi les plus prestigieuses. Une villa de rêve, une cuisine spacieuse pour sa petite femme et une chambre du même acabit pour son enfant, qui dès six ans comprit la chance qu’elle avait. Elle savait qu’elle pouvait tout avoir à portée de mains, et tandis que Jack s’était toujours montré raisonnable quant à sa fortune qu’il dépensait pour des associations caritatives, il fut contraint de succomber aux jeux de charmes de la brunette qui se montra particulièrement négociatrice. Elle organisait tous les complots possibles pour concrétiser ses fantasmes enfantins, que ce fusse une poupée sur laquelle elle avait jeté son dévolu, ou encore une coiffeuse qu’elle voulait avoir dans sa chambre, rien que pour elle. Des caprices de star auxquels Jack n’aurait jamais cru céder, mais qu’il finit par accepter en abdiquant à chaque fois que Plude lui déclarait la guerre. En grandissant, celle-ci devint enfermée sur elle-meme. Très calculatrice, toutes les opportunités étaient parfaites pour faire des affaires, et un événement qui aurait pu détruire sa paisible vie familiale suffit à mettre définitivement son paternel de son côté.
C’était en une après-midi estivale, où de bon matin, sa maman était partie à une réunion parmi lesquelles se trouvaient plusieurs autres infantes, dont la richesse de leurs époux leur permettait d’organiser des réceptions dont les bénéfices étaient reversés à des associations à buts caricatifs. Toute enjouée qu’elle était d’avoir la demeure rien que pour elle, Plude se leva particulièrement tôt pour profiter de cette opportunité en or. Revêtant sa plus belle robe, se coiffant, et piquant un peu de maquillage à sa mère, elle exploita sa petitesse en explorant les moindres recoins de la maisonnée, espérant découvrir des passages secrets. Son imagination étant déjà très vivace, elle se mit dans l’idée qu’il devait bien exister des créatures invisibles qui rôdaient dans sa maison, et qui risquaient de faire du mal à ses proches. Plongée dans sa lubie, et concentrée sur les bruits qui pouvaient rompre le silence et indiquer une présence indésirable, elle surprit d’étranges gémissements non loin de là. Fronçant les sourcils et croisant les bras, elle demeura ainsi durant plusieurs minutes, aussi droite qu’un « i ». Elle ne voulait pas se jeter dans la gueule du loup, avant d’être sûre qu’elle ne risquait rien. Alors, par précaution, elle s’arma d’un sceptre en plastique qu’elle s’était faite offrir dans un magasin de jouets, et le brandissant droit devant elle, resta convaincue de ses propriétés magiques. Avec une telle arme, les monstres n’avaient qu’à bien se tenir. La maisonnée était plongée dans l’obscurité, car la femme de ménage qui passait tous les jours n’était pas encore arrivée. Par conséquent, il était fort probable qu’une entité machiavélique se soit infiltrée chez elle.
Elle poursuivit son étrange aventure dans la salle à manger, où elle ne remarqua rien de suspect. Puis, elle se dirigea vers la chambre conjugale où les gémissements parurent s’accentuer et devenir plus criards. C’était étrange comme le monstre paraissait enthousiaste à l’idée de se faire débusquer par notre chasseuse de créatures. Et sans prévenir, elle se rua sur la porte de la pièce, la poussa et découvrit son père sur le corps d’une somptueuse succube qui avait tout l’air d’être une humaine tout à fait normale. Alors pas plus âgée de dix ans, Plude ne comprit pas ce qu’ils étaient en train de faire là, tous les deux, nus et l’un contre l’autre, dans un lit où sa propre mère aurait dû être. Elle pencha curieusement la tête sur le côté tandis que Jack la fixait avec insistance, littéralement terrorisé par le tempérament imprévisible de sa fille. Il chuchota à sa partenaire secrète de se rhabiller illico-presto et accepta finalement de faire face à sa progéniture. Celle-ci ne tarda pas à sortir de son mutisme :

- Dis, qu’est-ce qu’elle fait là elle ? demanda-t-elle en désignant la femme qui était en train de se vêtir précipitamment.
- Ma chérie cette…cette femme c’est une collègue de ton papa et il ne faudra pas dire à ta maman qu’elle est venue ici car on lui fait une surprise pour…pour son…hé bien…
- Pour son anniversaire, répondit le plus sincèrement possible l’intruse qui finit de boutonner le haut de sa robe.
- Oui, voilà, son anniversaire !
- Euh…ouais…mais son anniversaire est passé y’a plus d’une semaine. J’croyais que tu lui avais offert une bague, même qu’on l’avait choisie ensemble. Ca lui a pas plu c’est ça ? Pourtant elle avait l’air contente…hein, dis !

Plongée dans une intense réflexion,Plude croisa nouvellement ses bras et gonfla ses joues, agacée par toute cette confusion qui cachait bien des choses. Elle finit par fixer intensément l’inconnue qui se stoppa net, telle une statue que l’on aurait pétrifiée à l’aide d’un sort tout droit sorti des livres de Harry Potter. Arquant un sourcil, puis l’autre tour à tour, la demoiselle finit par faire les yeux ronds. Avait-elle fait le lien alors qu’elle était si jeune ? Jack commençait à s’en mordre les doigts jusqu’au sang, et aurait voulu qu’elle ne les surprenne jamais.

- J’ai compris, tu es polygame !
- Où…où as-tu appris ce mot d’abord ?
- En fouillant dans le dictionnaire. Un copain de ma classe a dit que son papa était polygame lui aussi mais que sa maman l’avait très mal pris. Alors j’ai cherché, et j’ai trouvé. Mais par contre, la polygamie chez nous, ça a pas l’air très légal non ? Alors pourquoi tu fais ça ? T’aimes plus maman c’est ça ? Dis !
- Tu lis beaucoup trop Plude, cesse de raconter des bêtises, j’aime très fort ta Maman.
- Alors elle n’a rien à faire ici. Tu es en train de la tromper c’est ça ? Je vais le dire à maman parce que tu es en train d’enfreindre la loi ! C’est comme ça qu’on dit d’un point de vue justistique !
- Judiciaire Plude, on dit judiciaire.
- Fichtre ! J’le dirai quand même à moins que…

Une idée germa dans son esprit, tandis que son père se suspendit à ses lèvres, guettant sa réponse avec une immense appréhension. Pendant ce temps, sa maîtresse s’en alla discrètement de la chambre et débarrassa le plancher, craignant que la véritable femme des lieux n’arrive brusquement.

- A moins que tu m’offres tout ce que je veux, dans la mesure où je sais que t’es qu’un papa pas gentil et infidèle.
- Ce n’est pas correct Plude, ça s’appelle du chantage.
- Je sais, mais c’est tout ce que mérite un Papa qui fait de l’inconstance.
- Il va falloir que je fasse un procès à Molière et à son Don Juan.

Ce qui revint à dire qu’une fois de plus, Jack venait de se faire prendre au piège par Plude qui durant toutes ces années, abusa allègrement de la bêtise de son père qui se montra aussi doux qu’un agneau. Pour accentuer la pression stressant perpétuellement l’homme qui avait contribué à sa mise au monde, la blondinette s’arrangea pour établir une grande complicité avec sa mère, qui apprécia d’avoir sa fille rien que pour elle et cela plus d’une fois.
Quelque années plus tard,lorsque notre chère Plude eut 26 ans,elle décida enfin de partir de chez elle.Juste avant de partir,elle avait décider de tout avouer à sa mère.Lorsqu'elle avoua,elle fut assez surprise par ce que dit sa mère.Après l'avoi remerciée d'avoir mit à découvert son père,elle lui dit ses mots:

Plude.Tu es une grande fille.Je vais t'avouer moi aussi quelque chose.Ma famille et moi-meme sommes très dévouées à la justice. Je connais quelqu'un...

Dick Gumshoe...Tel est le nom de l'incapable qui lui permettra de devenir détective.

“On est ce qu'on est, en partie tout au moins.”

La journée était belle. Ce genre de journée qui vous pousse à sortir de chez vous et vous balader sans idée où aller. Ce genre de journée qui incite à tout laisser et foutre le bordel. L’américaine que nous connaissons si bien a-t-elle besoin de ce genre de journée pour foutre le bordel ? Non, décidément pas. Mais elle n’en avait envie, elle attendait que la pluie tombe à nouveau et éloigne le soleil pour un jour au moins. Sinon elle aurait du mal à réviser les dernières fiches sur "La manipulation des supérieurs" sur son bureau, d’ailleurs elles étaient incomplètes. Aujourd’hui c’est une de ces journées où tu n’as envie de rien, juste de te jeter sur le canapé du salon et te faire tous les épisodes de toutes les séries que tu aimes. Voilà ce que pensait Plude d’une journée pareille. L'endroit était vide, chose normale , c'était un jour de vacances.

-Graaaah !!! Rien à faire !

Cri de désespoir d’une créature affamée. Mais elle a toujours faim la brune ! Hey ! Elle pouvait en tirer quelque chose de son état physique ! Mais oui, sous l’excuse d’avoir faim, elle pouvait délaisser ses stupides preuves pendant un moment, le temps de descendre et aller s’acheter un pannini ou un hot dog, mais quelque chose de quoi remplir le ventre vide. Oui, c’était un bon plan et elle n’avait pas pourquoi se sentir coupable de ses actes.
Les rues du centre-ville étaient pleines de gens, vieux, jaunes, travailleurs, étudiants, mères, enfants… avec cette multitude de personnes .Plude hésita à continuer, les masses n’étaient pas faites pour elle et le risque d’angoisser augmentait à chaque pas. Soudain, elle se rappela que près du campus d'une académie , un meurtre avait eut lieu. Hahaha, rien allait empêcher qu’elle mange avant l’heure et à la poubelle le régime qu’elle subissait . Eh ben, le temps passe vite qu’on a une direction précise à suivre et que la faim donne des ailes aux pieds. Comme elle le pensait, la zone était fréquenté par des gens bizarre dans des tenues plus que ridicules, ce qui eut comme conséquence de réjouir la jeune femme. Et devinez qui prenait en charge cette histoire. Dick Gumshoe. Pas besoin de faire la queue, héhé.
Elle avait plusieurs choix, notamment celui de rentrer chez elle et apprendre une bonne fois pour toutes les astuces pour manipuler Dick, mais ses recherches étaient incomplètes. Ses yeux se posèrent sur le contour du corps. Tordu comme si il était tombé du dixième étage d'un immeuble.

Pas fini

“Fini, c'est fini, ça va finir, ça va peut-être finir.”

Pseudo: Plude Casey
Comment avez vous connu le forum ?: Grace à un partenariat de partenariat :3
Remarques, suggestions ?: Remarques. Alors, je commence par quoi? Que le forum a le design le plus pétant que j'ai jamais vu? Que vos icons, j'ai envie de vous les voler tellement elles sont belles? Que je regrette pas du tout de m'etre inscrite sur ce forum?
Avatar de votre personnage: Chane Laforet de Baccano!